Notre méthode encadre chaque étape : qualification, cadrage, prototypage, déploiement et exploitation continue. Elle a été construite avec des directions finance, opérations, service client et IT pour limiter les surprises et sécuriser les décisions.
Nous partons d’une conversation structurée : enjeux, périmètre envisagé, contraintes IT, réglementaires et humaines. L’objectif est de vérifier rapidement si l’automatisation a un potentiel réaliste dans votre contexte et à quelles conditions.
Nous analysons vos flux existants, vos volumes et vos irritants. Chaque tâche est évaluée selon son potentiel d’automatisation, les risques associés et les dépendances techniques. Cette phase aboutit à une cartographie et à une liste priorisée de cas d’usage.
Nous concevons les premiers scénarios, sélectionnons les connecteurs, définissons les garde-fous et prototypons sur des jeux de données contrôlés. Les métiers valident les parcours et les cas d’exception.
Les scénarios sont déployés progressivement sur un périmètre limité, puis étendus en fonction des résultats et du feedback. Les équipes concernées sont formées à la supervision, aux procédures de reprise manuelle et à la remontée d’incidents.
Nous mettons en place des revues régulières, ajustons les scénarios, intégrons de nouveaux cas d’usage et accompagnons vos équipes dans la montée en compétence. Les indicateurs de performance servent de base à vos décisions d’investissement.
Pour que la méthode fonctionne, nous avons besoin de sponsors clairs, de données exploitables et d’un minimum de disponibilité côté métiers et IT. En retour, nous nous engageons sur la transparence des hypothèses, la traçabilité des décisions et la clarté des livrables.
Une automatisation maîtrisée suppose que chacun sache ce qu’il doit faire, ce qu’il valide et ce qu’il peut contester. Nous clarifions ces rôles dès le début de la mission.
Définissent les priorités, valident les parcours, testent les scénarios, remontent les incidents et les idées d’amélioration. Les métiers restent propriétaires du résultat opérationnel.
Valident les architectures techniques, les intégrations, les paramètres de sécurité et les modalités de journalisation. Gardent la maîtrise de l’infrastructure et des accès.
Conçoit les scénarios, assemble les composants, documente les choix, propose des ajustements et exploite les indicateurs pour recommander de nouvelles itérations.
La méthode Axionique n’a pas vocation à résoudre tous les problèmes organisationnels. Certains blocages relèvent de choix de gouvernance, de stratégie ou de culture d’entreprise qui dépassent le cadre de l’automatisation.
Nous pouvons passer en revue votre contexte, vos contraintes et vos attentes pour vérifier si la méthode Axionique est adaptée. Cet échange préliminaire ne vous engage pas et peut être arrêté à tout moment.